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Les dépôts sur les comptes courants continuent de croître malgré les taux bas. Les dépôts de liquidités explosent sur les comptes courants des ménages et entreprises français. En juillet dernier, les dépôts à vue avaient augmenté de 10,4 % sur un an. Une tendance persistante, corolaire du repli de la consommation des ménages, malgré des taux de rémunération réels négatifs.
iStock-HJBC
Une épargne de précaution
Au deuxième trimestre 2020, les entreprises et les ménages français ont continué à mettre de l’argent de côté, et ce malgré des taux de rémunération réels négatifs. Cette tendance est l’une des conséquences du repli de la consommation des ménages pendant le confinement et des incertitudes persistantes sur la relance économique. Par précaution, les liquidités déposées sur les comptes courants, communément appelés les « dépôts à vue » ne cessent d’augmenter depuis le début de la crise sanitaire. Les dépôts à vue incluent les transactions effectuées sur les comptes courants, hors livrets d’épargne ou dépôts à court terme. À titre d’exemple, au sein de BPCE (regroupement des Banques populaires et les Caisses d'épargne), les dépôts à vue ont augmenté de près de 28 % au deuxième trimestre sur un an et de 25 % dans les caisses régionales du Crédit Agricole. Les entreprises et les ménages font littéralement des provisions dans l’attente de jours meilleurs. Dans une note publiée le 29 août dernier, les experts de la Banque de France confirmaient le rythme d’augmentation de ces dépôts qui « continu(aient) de croître à un rythme soutenu (+10,4% [en juillet] après +10,7% [en juin]) ». Déjà historiquement hauts au premier trimestre, les dépôts à vue ont atteint la somme globale record de 1.106 milliards d'euros en juillet.
Taux de rémunération réels négatifs
Ces mêmes experts indiquent ce record a été atteint « malgré des taux de rémunération réels négatifs ». La rémunération réelle des dépôts se situe dans le rouge depuis 2017, et ce dans tous les pays européens. Dans l’hexagone, elle était en moyenne de -1,2% pour les ménages en 2019 et de -1,7% pour les entreprises (non financières). En vulgarisant, les dépôts effectués sur les comptes courants des ménages et des entreprises leurs coûtent actuellement de l’argent. La situation est similaire pour les institutions bancaires européennes subissent quant à elles un taux négatif de 0,40% depuis 2016 sur les liquidités excédentaires qu'elles laissent quotidiennement dans les coffres de la Banque centrale européenne (BCE). Cette épargne leur aurait coûté environ 7 milliards d'euros en 2019. L’État lorgne littéralement sur ces dépôts à vue qui pourraient mettre en péril la reprise économique, faute de consommation et d’investissement suffisants. Pour les institutions bancaires, ces liquidités abondantes sont en revanches une manne exploitable dans les prochains mois. L’enjeu sera alors pour les banques de canaliser cette épargne excessive vers des supports rémunérateurs, comme par exemple les assurances-vie en unités de compte.
Le présent article est rédigé par Labsense pour Boursorama. Cet article ne doit en aucun cas s'apparenter à un conseil en investissement ou une recommandation d'acheter, de vendre ou de continuer à détenir un investissement ou un placement. Boursorama ne saurait être tenu responsable d'une décision d'investissement ou de désinvestissement sur la base de cet article.
Ils n'ont toujours pas compris ces banquiers et ces politicards. Leurs vieilles ficelles ne fonctionnent plus quant à leurs assurances vie en UC ils peuvent jouer au Monopoly avec car les épargnants n'ont plus aucune confiance en eux.
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